Du 10 au 19 mars, Fabien et Léna sont allés à la rencontre des Activ'Acteurs à travers la France. 10 jours, 8 villes, 12 ateliers, plus de 3000km parcourus et une centaine de belles rencontres.

 

On vous partagera chaque semaine des témoignages d'Activ'Acteurs rencontrés lors des ateliers ! Et aujourd'hui c'est au tour de François, animateur dans la ville de Lille qui nous a partagé ses ressentis après sa première animation, le 10 mars dernier...

 

 

Quels sont tes ressentis par rapport aux premiers ateliers sur Lille ?

 

Très positifs ! C'est la découverte d'une nouvelle activité pour moi, d'une nouvelle façon de travailler en groupe que je ne connaissais pas. J'en pense beaucoup de bien aussi bien en tant que participant qu'en tant qu'animateur. Je suis en attente et j'ai envie de renouveler l'expérience. Voire même de vivre d'autres choses, mais dans le même cadre. 

 

Au sein d'Activ'Action, on a tout de suite un contact, d'abord avec Pauline, ensuite avec Léna. C'est une communication très facile. 

 

Pourquoi t'es-tu lancé le défi de l'animation ?

 

Je ne me suis pas posé la question ! C'était naturel pour moi de continuer l'expérience. Du coup, ça paraissait logique de continuer par l'animation. Je me suis aujourd'hui fixé un délai de 6 mois pour ne faire que ça. Que de l'animation. Au bout de ces 6 mois, je ferai un point. L'objectif est de vraiment pouvoir le valoriser dans mon CV. Pourquoi ? Parce que tout est nouveau pour moi et j'en apprends tous les jours : je ne connaissais pas ces outils d'échange. Je viens d'une autre planète ! Tous ces outils, on les connaissait mais on ne les utilisait pas. 

 

Comment tu as connu Activ'Action ?

 

Par la Maison de l'Emploi. Je suis allé à une réunion pour aller améliorer mon CV et j'ai vu le flyer Activ'Action. 

 

Comment t'es-tu senti lors de ta première animation ?

 

Je l'ai bien vécu. J'espère avoir été convaincant, à priori je pense que ça a été parce que je n'ai pas senti de flottement dans le groupe. Même si à un moment j'ai senti mes limites, j'ai pu donner la main à Léna pour reprendre la suite. Même si ce n'est pas quelque chose de difficile pour moi, puisque je l'ai expérimenté dans mon ancien travail, mais le sujet, le public et les méthodos sont nouvelles. Avant, nous étions tout le temps dans un rapport hiérarchique et là, tout le monde est sur le même pied d'égalité. 

 

Et si on faisait le jeu de l'optimisme ? Si tu devais choisir un moment positif vécu ? 

 

Le jeu de l'alphabet ! J'ai senti que c'était parti ! Les gens étaient sympas, ouverts, pas d'opposition. La dynamique était lancée. 

 

Qu'as-tu ressenti à ce moment là précis ? 

 

La maîtrise de la situation. Je me sentais bien, en phase, je sentais que ça allait bien se passer. 

 

Qu'est-ce que tu as mis en place pour vivre ce moment-là ? 

 

Je suis allé chez le coiffeur et j'ai mis une chemise propre. 

 

Si tu devais dire un grand merci ? 

 

Léna ! Elle m'a totalement épaulé avant, pendant et même après l'atelier. Elle est jeune mais elle a un professionnalisme remarquable ! 

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